Présentation de l'éditeur :
Anne-Catherine
appartient à la haute société genevoise.
Elle vient de se
séparer de son mari et demande à Guido Gianotti, professeur d'histoire de l'art
à la retraite, une estimation pour un tableau dont elle veut se débarrasser.
Tout oppose Anne-Catherine et Guido : elle a grandi dans les salons, il est
fils d'un immigré italien chauffeur de maître ; elle est encore jeune alors que
lui subit l'humiliation d'une virilité déclinante... Pourtant, au contact l'un
de l'autre, ces deux êtres blessés par la vie et par leur milieu vont retrouver
une dignité.
A travers les
rebondissements d'une enquête qui entraîne le lecteur dans l'univers des grands
peintres de la Renaissance florentine, surgit le récit d'un violent amour
crépusculaire.
Mon avis :
Ce roman est en
quelque sorte la suite de Victoria-Hall, comme souvent dans ses romans, Metin
Arditi fait réapparaître des personnages ou des événements secondaires qui
cette fois prennent la vedette. Ainsi dans l’imprévisible, on retrouve Anne
Catherine, séparée de son mari et qui veut se débarrasser d'un tableau. Elle
demande à Guido de s'en occuper.
L'intrigue va nous
mener de l'histoire sentimentale entre Anne-Catherine et Guido que tout pourrait séparer à une enquête dans
laquelle de grand peintres de la
renaissance apparaissent.
Les problématiques
liées aux passés de Guido et d'Anne
Catherine jouent un grand rôle, c'est en
quelque sorte la marque de l'auteur et une des originalités de son écriture.
Un excellent roman
que j'ai lu d'une traite.
Après ma découverte de "Prince d'orchestre", je ne vais pas en rester là et continuer à explorer cet auteur
RépondreSupprimer